"Les hommes ne savent pas, mais les petites filles comprennent"
Jim Morrison
Lorsque l'on est tout petiot on a des rêves pleins la tête, on veut faire des métiers tout beau, tout fou, tout fort, comme pompier, infirmière, chanteur, acteur, médecin, ou encore des métiers fameux, comme extra-terrestre, prostituée, Rmistes, fan de Johny, squatteurs (chacun ses ambiances hein...). A l'adolescence, la réalité nous rattrape vite (surtout grâce à ces enfoirés de conseillers d'orientations), on finit par somatiser ou encore se tourner vers d'autres rêves. La petite Paracelsia a toujours eu le secret désir d'être une groupie, dès que j'ai sût ce que cela voulait signifié, je peux vous dire que ça m'a plût de suite, quoi de plus beau que de squatter partout, rencontrer des tas d'artistes et se farcir la moitié de ceux qui te font saliver, sex, drugs and rock'n roll, des chevelus en veux-tu en voilà et planer sans se soucier des choses banales et bancal de l'existence.
Comme bon nombres de filles, j'ai fantasmé sur pas mal de stars du rock qui m'ont rendu complètement abrutie, la slipette sur les chevilles à essayer de me sentir assez bonne ou assez femme pour leur plaire un jour, et tu finis par te faire de très grands films dans ton esprit, digne d'une production hollywoodienne (dans mon cas c'était plus du grand Lynch), je n'ai par contre jamais écrit de lettre d'amour, surtout par flemmardise que par manque d'inspiration et parce que je pensais bien que des milliers d'hormones sur pattes étaient en train d'inonder les fans clubs de cris d'amours désespérés.
Cela a commencé comme ça, avec ma découverte du heavy métal, mais à 6 ans j'écoutais juste et je bougeais juste pour le plaisir de la musique, puis ensuite, je suis tombé amoureuse de Joe Perry très très jeune, je le trouvait incroyable, je ne savais pas ce que c'était, à 10 ans tu n'y comprends pas grand chose, mais le voir avec ses cheveux longs ondulé avec sa guitare, j'en était toute conne devant la télé. J'ai aussi secrètement rêvé d'embrasser Mick Jagger plus petite, il avait des lèvres si énormes que ça me donnait envie d'être avalé par elles, le clip "Angel" a été un déclic.
Il y eut un moment Steve Vai dans mes larmes de joie de l'entendre gratter sa guitare comme si c'était une princesse, des solos qui me plaisent énormément, alors si il est sexy en prime, ça m'arrange énormément. Steve Vai était un personnage que je trouvais obscène, j'avais l'impression qu'il tenait sa queue entre ses mains et ça me faisait tourner la tête à chaque vibration, il la tenait vraiment comme si c'était sa copine, et j'adorais ça, j'ai même hurler une fois, "In my dreams with you" m'a fait comme une décharge électrique dans tout le corps. Le must du must, a été Sebastian Bach, l'hallucination totale, une coupe de cheveux à me couper le souffle, un corps qui se déhanche aussi bien qu'une allumeuse, un regard de braise, des lèvres qu'on a envie d'abîmé, j'aimais ce côté féminin/masculin et sa voix virile, il me faisait l'effet d'une canicule soudaine, pour sûr, si je l'avais rencontré probablement que je lui aurait prier de me prendre là de suite et de me faire une tripoter de petits métalleux métisses.
Être éprise de Kurt Cobain n'était pas original, mais il faut le dire, il était la chantilly sur tout les gâteaux du monde, complètement attachant, paumé et beau, mais beau, et surtout, cette voix qu'il se trimballait, ça m'assommait d'un coup, j'écoutais sa voix tout le temps, dès mes moments de libre, hop! Génésis, les stones, Led Zep, Maiden, Black Sabbath, Bowie, les Kinks, Skid Row, Pink Floyd, Police, Tom Petty, Slayers, je les oubliaient complètement, anéthésier par cette voix qui vibrait si fort et vous faisait mal jusqu'au tréfonds du coeur et de la peau, j'aimais beaucoup cette période Nirvana qui m'a tristement transformé en fan hystérique bébête.
J'ai désiré pendant des années et des années être Madame Nick Cave, depuis le jour où j'ai vu "Nick the stripper" que ce corps famélique, ces cheveux hirsutes, cette bouche émouvante, pulpeuse, ces yeux de drogués, ce nez atypique et cette voix de crooner défoncé sont venus jusqu'à moi je me suis littéralement joui dessus, je n'avais jamais vu d'Être aussi beau et aussi dangereux que ce type, à chaque convulsions de sa part en Live, mon coeur s'arrêtait d'un coup, sa personnalité, tout me donnait envie d'appartenir à ce personnage.
Le dernier de mes n'amoureux virtuels de "groupie" répondait au nom de Daniel Johns, petit chanteur ados du groupe Silverchair, une apparition, un rêve, un hobbie énorme, il fut l'acteur principal de tout mes sommeils, et lorsque je dis énorme je fais passé Sire Rocco pour un poucet. J'aimais sa voix, son petit corps tout maigre, ses longs cheveux d'or et ses yeux clairs, pour moi c'était à ça que devait ressembler un ange, Johns provoquait des réactions assez bizarres, lorsque je pensais à lui, je devenais très calme, et très somnolente, un très puissant calmant que la connerie n'empêche.
Mes idylles fantastiques se sont achevés comme ça, mon rêve de groupie s'est arrêté avec la réalité de la vie, essayer de vivre avec le désenchantement, le fait aussi que je me vois comme quelqu'un de fichtrement banale et inintéressante.
Lorsque l'on est tout petiot on a des rêves pleins la tête, on veut faire des métiers tout beau, tout fou, tout fort, comme pompier, infirmière, chanteur, acteur, médecin, ou encore des métiers fameux, comme extra-terrestre, prostituée, Rmistes, fan de Johny, squatteurs (chacun ses ambiances hein...). A l'adolescence, la réalité nous rattrape vite (surtout grâce à ces enfoirés de conseillers d'orientations), on finit par somatiser ou encore se tourner vers d'autres rêves. La petite Paracelsia a toujours eu le secret désir d'être une groupie, dès que j'ai sût ce que cela voulait signifié, je peux vous dire que ça m'a plût de suite, quoi de plus beau que de squatter partout, rencontrer des tas d'artistes et se farcir la moitié de ceux qui te font saliver, sex, drugs and rock'n roll, des chevelus en veux-tu en voilà et planer sans se soucier des choses banales et bancal de l'existence.
Comme bon nombres de filles, j'ai fantasmé sur pas mal de stars du rock qui m'ont rendu complètement abrutie, la slipette sur les chevilles à essayer de me sentir assez bonne ou assez femme pour leur plaire un jour, et tu finis par te faire de très grands films dans ton esprit, digne d'une production hollywoodienne (dans mon cas c'était plus du grand Lynch), je n'ai par contre jamais écrit de lettre d'amour, surtout par flemmardise que par manque d'inspiration et parce que je pensais bien que des milliers d'hormones sur pattes étaient en train d'inonder les fans clubs de cris d'amours désespérés.
Cela a commencé comme ça, avec ma découverte du heavy métal, mais à 6 ans j'écoutais juste et je bougeais juste pour le plaisir de la musique, puis ensuite, je suis tombé amoureuse de Joe Perry très très jeune, je le trouvait incroyable, je ne savais pas ce que c'était, à 10 ans tu n'y comprends pas grand chose, mais le voir avec ses cheveux longs ondulé avec sa guitare, j'en était toute conne devant la télé. J'ai aussi secrètement rêvé d'embrasser Mick Jagger plus petite, il avait des lèvres si énormes que ça me donnait envie d'être avalé par elles, le clip "Angel" a été un déclic.
Il y eut un moment Steve Vai dans mes larmes de joie de l'entendre gratter sa guitare comme si c'était une princesse, des solos qui me plaisent énormément, alors si il est sexy en prime, ça m'arrange énormément. Steve Vai était un personnage que je trouvais obscène, j'avais l'impression qu'il tenait sa queue entre ses mains et ça me faisait tourner la tête à chaque vibration, il la tenait vraiment comme si c'était sa copine, et j'adorais ça, j'ai même hurler une fois, "In my dreams with you" m'a fait comme une décharge électrique dans tout le corps. Le must du must, a été Sebastian Bach, l'hallucination totale, une coupe de cheveux à me couper le souffle, un corps qui se déhanche aussi bien qu'une allumeuse, un regard de braise, des lèvres qu'on a envie d'abîmé, j'aimais ce côté féminin/masculin et sa voix virile, il me faisait l'effet d'une canicule soudaine, pour sûr, si je l'avais rencontré probablement que je lui aurait prier de me prendre là de suite et de me faire une tripoter de petits métalleux métisses.
Être éprise de Kurt Cobain n'était pas original, mais il faut le dire, il était la chantilly sur tout les gâteaux du monde, complètement attachant, paumé et beau, mais beau, et surtout, cette voix qu'il se trimballait, ça m'assommait d'un coup, j'écoutais sa voix tout le temps, dès mes moments de libre, hop! Génésis, les stones, Led Zep, Maiden, Black Sabbath, Bowie, les Kinks, Skid Row, Pink Floyd, Police, Tom Petty, Slayers, je les oubliaient complètement, anéthésier par cette voix qui vibrait si fort et vous faisait mal jusqu'au tréfonds du coeur et de la peau, j'aimais beaucoup cette période Nirvana qui m'a tristement transformé en fan hystérique bébête.
J'ai désiré pendant des années et des années être Madame Nick Cave, depuis le jour où j'ai vu "Nick the stripper" que ce corps famélique, ces cheveux hirsutes, cette bouche émouvante, pulpeuse, ces yeux de drogués, ce nez atypique et cette voix de crooner défoncé sont venus jusqu'à moi je me suis littéralement joui dessus, je n'avais jamais vu d'Être aussi beau et aussi dangereux que ce type, à chaque convulsions de sa part en Live, mon coeur s'arrêtait d'un coup, sa personnalité, tout me donnait envie d'appartenir à ce personnage.
Le dernier de mes n'amoureux virtuels de "groupie" répondait au nom de Daniel Johns, petit chanteur ados du groupe Silverchair, une apparition, un rêve, un hobbie énorme, il fut l'acteur principal de tout mes sommeils, et lorsque je dis énorme je fais passé Sire Rocco pour un poucet. J'aimais sa voix, son petit corps tout maigre, ses longs cheveux d'or et ses yeux clairs, pour moi c'était à ça que devait ressembler un ange, Johns provoquait des réactions assez bizarres, lorsque je pensais à lui, je devenais très calme, et très somnolente, un très puissant calmant que la connerie n'empêche.
Mes idylles fantastiques se sont achevés comme ça, mon rêve de groupie s'est arrêté avec la réalité de la vie, essayer de vivre avec le désenchantement, le fait aussi que je me vois comme quelqu'un de fichtrement banale et inintéressante.
Daryl Hannah photographier par Richard McLaren ©
bon c etait pas les meme of course mais purin... comme c etait bon.
Darreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen
JE crosi definitivemetn que tu es la meilleure pour ecrire toutes ses choses comme on les ressent.