Paracelsia

† La Madone Anthracite †

Lundi 16 novembre 2009 à 16:14

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http://paracelsia.cowblog.fr/images/ZacharyFrancisCondon0.jpgEncore une fois... Mon coeur à valdinguer sur les couleurs sonores ondoyantes et chatoyantes des mélodies nonchalantes, follement éprises de lyrismes balkaniques et indépendants de Beirut. Je suis tombé amoureuse il à 4 mois d'un globe-trotter fou, dépressif et talentueux que j'ai découvert un peu en retard mais que j'ai découvert tout de même. Artiste multi instrumentiste, Zackary Francis Condon est sans doute à lui seul le groupe Beirut, c'est indéniable. Trompettiste, accordéoniste et manipulateur d'autres instruments fascinants à la limite de la création personnelle, ce petit prodige solitaire nous délie à travers ses marottes tout un panel de chansons flirtant avec la nostalgie, mais d'une fraîcheur incroyable. Bref, j'aime aussi sa musique pour son univers étrange et poétique. Coup de coeur fébrile donc.

J'avoue avoir été impressionner à la première écoute, d'un genre que je trouve fort jolie mais que peu de personne réussit à manipuler. Imaginer vous un mix improbable entre le style folk mariachi de Calexico, le trip explosif gypsie ou mélancolique bulgare de Bregovic et celui du rock déprimant des Tindersticks et vous obtenez des titres emprunt de délicatesse, de douceur, de mélodies désabusés, mener par la voix vibrante et chaleureuse façon crooner de Monsieur Condon. Cela m'a donné la pêche, cela a provoqué des afflictions, une joyeuse lassitude, une saine tristesse, une envie de danser. Certains intitulés tel que "A Sunday Smile" ou "St Apollonia" ou encore "The Elephant Gun" me restent sur le coeur comme des rémanences de purs moments d'hébétudes. Et parfois entre le Métal, l'Eclectro ou la Noise, ça fait un bien fou.

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L'amour de Zack Condon pour la culture, la musique et le cinéma français transparaît complètement sur l'album éponyme "The Flyng Club Cup" que j'ai usé jusqu'à la veine musicale. "Nantes" diffusé à la radio (enfin par Nova principalement et ce n'est pas tous les jours) laisse entendre un extrait du "Mépris" de Godard. De même que certains titres très français comme "La Banlieue", "Cherbourg" et le fait qu'il ait enregistré des tracks dans les rues de la Capital et certains bars. C'est dire comme j'ai véritablement manquer de jugeotte en loupant ces entrefaits magiques. Pourtant, j'apprendrais bien plus tard qu'il est surtout le champion des absents et pose des lapins à son auditoire sans prévenir, pour cause récurrentes de dépressions, de quoi faire peur, si prochaine tournées européennes il y a. Esperons qu'il ne finisse pas dans sa quête de solitude et de perfection comme Anton Newcombe. Je conseille vivement donc de vous mettre à l'écoute de "The Flyng Club Cup", "The Elephant Gun" et "Gulag Orkestar". Vomissez le, adorez le, méprisez le, découvrez le...
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Dimanche 30 août 2009 à 13:04

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La première fois que je l'ai vu, j'ai adoré cet Être fragile, silencieux et plein de poésie, c'est comme cela que se définit la belle. Depuis je la nomme My Sweet Prince parce que c'est une Fée, mon amie, un beau garçon sans armure, un amoureux écorché, une princesse déchue, une petite fille qui refuse de grandir et qui se blesse constamment aux émotions des autres et aux siennes. Fée Brile est surtout un personnage qui existe, qui ne s'invente pas, ne se raconte pas et ne s'ignore pas. C'est un artiste qui peut elle-même se définir et le fait dans un langage proche du surréalisme, pleins de mutismes et de rêves brisés. Je vois à travers son monde un orphisme constant et agréable qui confine parfois à la folie. J'amoureuse son univers, ses pupilles dilatés qui aiment la mélancolie et sa douceur, son étrangetée sublime, sa magie. Derrière les photos ainsi que les apparences, bat un coeur qui s'égratigne puis saigne et nous l'offre sur un plateau numérique.


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http://paracelsia.cowblog.fr/images/FeeBrile.jpg"C’est un bout de ficelle mou et gluant qu’il sert au creux de la paume de sa main, en tirant tout doucement sur l’amour qu’elle lui porte. Isabelle est posée dans un coin de la pièce, la poitrine arrachée qui lui imprime comme un gros trou violacé sur le buste. Tout au fond, se trouve le coeur que l’homme convoite, ses larmes qui se dévoilent. Elle n’essaie pas de le retenir lorsqu’il lui prélève une partie et l’emporte.

Isabelle se redresse après le chaos de sa rupture insensée Elle cherche des yeux le reste de sa peau qui traîne sur le carrelage froid. Le soir, elle recoud sa tristesse aux lueurs d’une bougie parfumée, et s’ignore souffrante alors que l’aiguille s’enfonce profondément dans sa chair ; la douleur physique n’est pas le plus important.

Le jour, elle descend, du haut de ses talons piqués, balancer son corps frêle sur le bitume chaud. Elle cligne des yeux comme une automate, déambule près des autres poupées sans amour sur le boulevard désenchanté. Là, elles attendent toutes le prince charmant avec des yeux ronds d’espoir et leurs bouches brillantes de baume sucré. Une grande blonde guindée lui montre le trou que son imposteur lui a fait à la cuisse.

_ « Il disait qu’il aimait la texture de mes jambes. Il les a emportées sans moi. »

La blonde fait mine de pleurer, mais son fard craque et s’éparpille sur le sol. Elle s’alarme et sort son poudrier pour recoller un teint fané embarqué par un autre goujat.

« Il disait qu’il aimait mon teint de porcelaine », avait-elle soupiré.

Chez Isabelle, s’était son coeur qu’ils aimaient garder près d’eux, un morceau de son amour. Lorsqu’elle était arrivée ici, elle rayonnait tellement que les autres en restaient cois de jalousie. Son trop grand espoir faisait des envieux chez les tableaux ternes et saturés de belles promesses. Pourtant, elles revenaient toujours parées de leurs plus beaux bijoux, portant leurs plus beaux atours, imbibées de leur meilleur parfum, maquillées comme des perles. Elles hantaient les rues aux dalles roses, vendant leur drame contre un peu de magie. Et les hommes venaient pleins de douceurs, de bonbons acidulés, de mots envoûtants qu’elles aimaient boire, avant qu’ils ne se lassent de l’unité et ôtent ce souvenir d’elles qu’ils ne pouvaient plus oublier.
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Au début, Isabelle avait rencontré son homme sans visage qui lui parlait du paradis à deux. Il lui créait des couleurs et des balançoires ornées de fleurs pour qu’elle puisse rire et se basculer. Elle avait pleuré quand il l’avait giflé afin de lui ouvrir la poitrine et couper un éclat, pour l’entraîner loin d’elle avec lui. À chaque prince corrompu, son coeur rétrécissait, ses yeux devenaient secs et elle avait apprit à recoudre son corps meurtri sans trop faire d’histoires.

Sa tristesse avait rendue les autres filles compatissantes et protectrices. Isabelle s’était mise à faire comme les autres : venir chercher un homme honnête. Aussi, son silence la rendait énigmatique et attirait d’étranges ombres amoureuses qui finissaient pourtant par la dépecer. Dès lors, Isabelle avait toujours le droit à sa place près de la fontaine de pétales, où l'on venait la cueillir sans trop y croire en vue de voler ses rêves à nouveau.

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Jules, quant à lui, se cachait parfois au bout de la ruelle pour espionner les âmes sans vies de ces jeunes filles amoureuses d’un prince imaginaire. Elles aguichaient les hommes avec leurs souhaits, mais lui, il aimait observer Isabelle, assise sur les rebords de la fontaine, montrant sa cicatrice aux passants, sans expression, les yeux fixés au ciel. Elle semblait morte, résignée. Jules avait envie de l'aimer, de toucher son âme sans rien lui enlever. Et c’est ainsi qu’il se présente à elle :

_  « Laisse-moi entrer à l’intérieur. »

Isabelle avait baissé les yeux sur ce drôle d’oiseau vêtu de marbre, agenouillé à ses pieds, un chocolat blanc au creux de la main. Elle adorait les sucreries et ses joues ternies se coloraient en rouge sous le fondant de la crème vanille. Les autres filles s’étaient arrêtées, la bave au coin de la bouche et des yeux pour voir Jules transporter sa princesse sur son dos.

Tout d’abord heureuse, Isabelle a envie de mourir lorsqu’il lui ouvre la poitrine. Seulement, Jules était un véritable seigneur. Il découpe aussi son buste sous l’œil médusé de la jeune fille, puis il en extrait une pointe de ficelle pour le mettre dans son vide à elle. Isabelle rayonne d’un coup : elle a l’impression de redevenir belle et entière. La jeune fille absorbe alors son prince, et toute la nuit, la bouche collée contre la sienne, leurs coeurs battent à l’unisson."
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Text by Paracelsia
http://paracelsia.cowblog.fr/images/FeeBrile10.jpgFor My Sweet Prince


Photos by Fée Brile
 ©
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Lundi 13 juillet 2009 à 21:26

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Lorsque j'étais petite, je croyais en toute sorte de croque-mitaine, mon favoris étant Freddy Krueger qui était devenu un moment mon meilleur ami imaginaire. Je le voyais dépecé tout les gens qui avaient l'audace de me faire le moindre mal, la famille compris, c'était Freddy  qui m'avait fait ouvrir la main de mon petit frère au cutter, et fracasser la tête de mon autre petit frère à travers la vitre de l'école primaire, lui aussi qui voulait que je mette des objets coupants dans la bouche de ma copine.
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J'ai commencé à avoir peur des méchantes apparitions lorsque j'ai grandit et que Freddy a disparut laissant place à des terreurs et monstres bien réels.
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Ces clichés que l'on m'a fait découvrir me rappel cette période enfantine où les peurs et les terreurs étaient une partie intégrante de ma vie et celles de bien d'autres gosses aussi. Lorsque la lumière s'éteint et que l'on semble apercevoir dans la pénombre une forme qui se meut jusqu'à prendre des proportions si énorme dans ton imaginaire que t'en dors plus la nuit. Les photos de Joshua Hoffine sont splendides et horriblement délicieuses, sans trucages ni montage photo, cet artiste puisse ces inspirations dans ses propres souvenirs et les cauchemards de ses enfants (d'ailleurs les fillettes qui posent sont ces gamines Shiva et Chloé, sa petite nièce Théa posera pour la photo avec le serpent géant; cet homme est classe décidément).
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Ainsi, avec l'aide de ces proches il réalise ces oeuvres purement et simplement géniaux, de véritables bijoux horrifiques et délicieusement sadiques, des mises en scènes digne d'un film d'horreur comme on aime, avec lumières, costumes, maquillages et FX. Si il préfère mettre en scène les petites filles, c'est que selon lui, elles auraient un pouvoir visuel (Syndrome Trevor Brown?). Les petites filles représenteraient la pureté, l'innocence (Syndrome Lewis Carroll?). Il n'empêche que sur son site, vous trouverez son blog et sur ce blog, le making-of de son travail et bon sang, c'est trop bon!
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Creepy! Crapy! Scary! Cutty!

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Chloé et sa grand-mère qui joue le clown inquiètant...



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  Photos de Joshua Hoffine ©

Lundi 4 juin 2007 à 23:54


Oui, j'enchaîne, mais je l'aime beaucoup celui là aussi, David Michael Stoupakis est né le 26 Juillet 1974 a Brighton, Massachusetts. Ses parents sont tous deux des artistes (le pied en gros) ils ont évidemment pousser leur fils à suivre le fil.

Pas du tout studieux, ses profs ont eu la sagesse de l'orienter vers des métiers artistiques. Ces portraits d'enfants mignons qui transfigure une cruauté, une douleur, la hantise de l'innocence défiguré par le sinistre, le macabre et l'horreur. Le monde de l'enfance est juxtaposé avec un environnement malsaint au possible, quand "Alice aux pays des Merveilles" descend en enfer ça semble donné ça. Dans ses portraits, personnes ne semblent entendre ni comprendre la souffrance de ses enfants,  c'est assez mystérieux parfois déconcertant, mais j'aime ses peintures, je leur trouve une certaine présence et des histoires incroyable à raconter.
Voici une petite vidéo trouver sur le net.



   


                         
































































Peintures de David Stoupakis ©

Samedi 2 juin 2007 à 22:12

Ce sont de sublimes portraits possédant un univers, entre classique, pop et surréaliste, Lori Earley peint des visages qui subissent une distortion de la réalité, pourtant cet aspect assez opposé avec la beauté classique rendent ces oeuvres magnifiques et originales.

Les yeux sont le centre principal de l'expression de ses modèles et confèrent un onirisme parfois morbide ou romantique, chaque personnage tient un mystère particulier ou une émotion qui se lit à travers ses grands yeux, le regard mélancolique, vide ou parfois inquiètant rappelent ce vieille adage "Les yeux sont les fenêtres de l'âme".

La mode aussi est un thème que l'on peut decelé grâce aux robes amples et la pose des modèls. Lori Earley en effet fait venir des modèle qu'elle dessine et finalise ensuite à la peinture à l'huile (attention elle n'utilise pas de programme infographique ni numérique). En tout les cas, j'aime énormement...


          


        
            


Peintures de Lori Earley
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Dimanche 7 janvier 2007 à 23:56

Eugenio Recuenco est un photographe de mode Espagnol. Cet homme est très créatif et a remporté quelques prix, malgré le fait qu'il fasse partit du milieu de la mode, je trouve à ces clichés une certaine beauté, une tristesse étrange, une atmosphère de conte cruel moderne et d'apparence malsaine et commerciale. Il Travaille pour le magazine Figaro, et  Chanel, Vuitton, Nina Ricci etc...





Les arrangements sont parfois surréalistes et impressionnants, son monde est fantasque et curieux, assez froid mais je suis totalement sous le charme.





Lavazza a lancé un calendrier (assez cher je trouve) avec pour thème les supers-héroines, et Eugenio Recuenco a été choisit pour réaliser les photos, on y voit neuf portraits de supers héroines évoluant dans la ville avec le café pour allié, j'aime beaucoup moins ces photos là, mais c'est un monde à découvrir.











Jeudi 25 mai 2006 à 0:40

Jan Saudek  est un photographe qui peint par dessus ses clichés. Bien avant photoshop et palettes visuelles graphiques, l'artiste qui à maintenant 70 ans maquillait ses photos aux sujets assez étrange, mélangeant romantisme, baroque, rêve, érotisme et perversité. Il joue souvent sur les contrastes et fait parfois ressortir un objet d'une photo noir et blanc comme si l'image se détachait du fond pour nous exploser en plein visage.
 
Ses sujets de prédilection sont le plus souvent des femmes rondes, des femmes belles, des femmes au physique atypique et les adolescentes. Il met en scène ses personnages pour nous offrir une histoire, des scènes tendres, cruelles, sensuelles, absurdes... C'est de loin mon artiste favoris.
Jan Saudek est né en 1935 en Tchécoslovaquie, il fait ses premières compositions photographiques en 1951. Ses photos témoignent d'un univers trouble qui dérange, attirance et répulsion domine ses oeuvre et c'est ce qui lui vaudra sous le régime communiste d'être soupçonné pour immoralité, son oeuvre sera condamné pour atteintes aux bonnes moeurs. Mais rien ne l'arrêtera, il sera obligé de bosser dans une quasi clandestinité et continuera à travailler dans une usine pour survivre.

En 1966, il va faire une photo magnifique de son bébé dans les bras d'un homme, et celle ci fera le tour du monde. C'est après cela qu'il acquiert une renommée internationale est faite, ce qui ne change en rien sa situation au sein même de son pays. Il faudra qu'il attende 1984 pour être reconnu comme artiste.


Beauté, laideur, exagération, mais toujours magnifique prestation. Au travers de ses oeuvres, je sens passé la vie.


"Quand vous faites l'amour, vous ne savez pas ce que vous faites. C'est instinctif. Mon travail aussi"

Lundi 3 avril 2006 à 2:08

                
Voici mon amie, merveilleuse sorcière qui vous ensorcelle de ses photos magiques, de ces portraits d'elle et de ses amies. Je ne puis faire une biographie digne d'elle, il n'y a personne mieux qu'elle qui puisse se raconter.
     
     


                   
     
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Samedi 25 mars 2006 à 20:31


Chad Michael Ward vit à Los Angeles avec sa partenaire Danielle Bedics et un chat infernal.
Il est très influencé par l'Art de H.R. Giger, J.K. Potter, Jeff Pittarelli, Ashley Wood, Dave McKean, Eric Dinyer, David Mack, Trevor Brown, Cliff Nielsen, Daniel Ouellette, Ernst Fuchs, Greg Spalenka, Phil Hale, Brom, John Bolton et Joseph Michael Linsner aussi bien que par la musique de Collide, Razor Skyline, Xorcist, Delirium, Tool, Marilyn Manson, Switchblade Symphony and Portishead. D'ailleur, il fait certaines pochettes de CD pour ses artistes qu'il aime. C'est un artiste que j'ai découvert au lycée grâce aux éditions Oxymore.
Son univers est très spécial et assez décalé, je n'apprécie pas tout ce qu'il fait, mais il mérite votre attention.




  

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Mercredi 22 mars 2006 à 23:08

keiichi kunishige fait des illustrations que je n'ose pas qualifier de "gothique" parce que d'abord cela ne veut rien dire, et que ça ne l'es pas du tout. On le qualifie d'artiste "Gothic Lolita" (qui est une mode japonaise inspirée par les groupes de Visual Kei et de la mode de l'aristocratie française d'avant-révolution)  mais même si c'est fort déplaisant, je doit avoué que je me suis laisser séduire par ce genre de travail. Le fait est que ces personnages sont assez hypnotisants et adorable, l'ambiance coloré et sombre à la fois me fait penser à un mauvais conte.
Malheureusement, le site officiel n'existe plus donc il ne vous reste que des Fanlistings.






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