Paracelsia
† La Madone Anthracite †
Samedi 4 juillet 2009 à 23:07
Michaël Jackson est mort et tout à coup j'ai eu l'impression étrange que le reste du monde et les autres faits ont été gommés parce que c'est important de se souvenir de lui et que merde c'était MICHAEL! Hum! Pina Bausch est morte; cette grande dame de la danse moderne, que j'appréciais énormément a disparu dans une indifférence qui ne lui rend carrément pas hommage. Neda Soltani est tuée par les basiji alors qu'elle manifestait pacifiquement, mais, le jour de la mort de Bambi, le monde s'est tout à coup réveillé, alors que cela ne semblait pas réellement touché les couilles et les tétons des uns et des autres que plus aucuns journalistes ne soient présents en Iran pour commenter cette superbe rebellion étouffée par le pouvoir. Des milliards de demandes pour assister à l'enterrement de la star ont été envoyé sur le net en moins d'une heure... "En meme temps des news de L'Iran, des enfants qui meurent, de la misère on en voit tous les soirs au 2Oh et ce tous les jours." m'a t-on sortis. La phrase qui m'a sûrement bien énervée était celle d'un pauvre fan de Jacko "C'est si banales ces histoires dans ces pays mais la mort du roi de la pop c'est carrément pas pareille", aussi, j'aurais tant voulut lui répliquer qu'un tampon mal insérer lui aurait fait tout autant d'effet que la mort de son idole!
Bref! Autant la révolte des Iraniens, que beaucoup attendait, était superbe les premiers instants, autant les horreurs qui ont suivis pour la réprimer, ont touchées énormément de personne et qu'au lieu de s'occuper de Carla Bruni en lingerie fine du temps de sa carrière de model, du dernier secret à la con dans cette abérration diffusée sur Tf1, ou du cul de Lady Gaga, ils feraient mieux de nous céder des informations plus importantes!
Iran-Resist
Association des Femmes Iraniennes de France
Infos Iran sur Yahoo
Bref! Autant la révolte des Iraniens, que beaucoup attendait, était superbe les premiers instants, autant les horreurs qui ont suivis pour la réprimer, ont touchées énormément de personne et qu'au lieu de s'occuper de Carla Bruni en lingerie fine du temps de sa carrière de model, du dernier secret à la con dans cette abérration diffusée sur Tf1, ou du cul de Lady Gaga, ils feraient mieux de nous céder des informations plus importantes!
Iran-Resist
Association des Femmes Iraniennes de France
Infos Iran sur Yahoo
Mercredi 2 juillet 2008 à 10:38
J'emménage enfin avec ma choucroute et parce qu'il faut bien ajouter un article pour que cet endroit ne meurt pas, je vous fais à ceux que je n'ai pas oublié un énorme bisou. Je n'ai plus le net donc soyez indulgents!
A bientôt!
Photo d'Isabelle Royet ©
Mercredi 30 avril 2008 à 23:09
Aujourd'hui, j'ai décidé de recommencer un journal (Voir ce SUJET ci) grâce auquel j'ai appris énormément de choses sur des brins de nanas fabuleuses et pour une d'entres elles particulièrement qui est devenue mon amie. Le journal va repartir chez une personne après que j'ai eu finit d'en noircir les premières pages pour le mois de Mai.
Si jamais cela semble vous titiller ou vous intéresser, n'hésiter pas à me faire signe.
Photo d'Irina Ionesco ©
Lundi 3 mars 2008 à 23:28
*
PS:
Merci Jessoua d'avoir écrit ce message assez sincère. Te répondre est
assez difficile puisqu'il n'y a aucun liens pour te joindre...
* Bonsoir, bonjour pistil de mon coeur, plaie de mon Dieu armé, doucement mon âme, ça bouillone toujours de poésie lorsque Jules résonne...
* Amen, mes chers retrouvés...
USA - 2005 | Un film de John Mallory Asher | Avec Jenny McCarthy
(Rebecca), Carmen Electra (Michelle), Eddie Kaye Thomas (John), Kam
Heskin (Carrie), Victor Webster (Richard)
Lorsqu'on m'a dit "Tu veux voir une bouse?" j'ai opinée du chef, ça me tente
toujours de me marrer sur un truc immonde, mais là! Je suis resté
abasourdie! J'ai donc regardé un film... Euh! Une merde nommée "Dirty
Love" de John Mallory Asher, le grand benêt qui jouait le Gary de Code
Lisa!
Rien que la jaquette criarde aurait dû me stopper (avec Jenny McCarthy, Carmen Electra, SUM41 et Pause-Caca de American Pie). L'histoire d'une connasse amoureuse et bonnasse, encore que pour sa chance elle est fausse blonde, qui tombe du cul lorsqu'elle surprend son petit ami top model avec une autre bitch blondasse! Alors elle cherche à se venger en essayant de le rendre jaloux jusqu'à trouver le grand amour! Oui bon, le synopsis aussi aurait dû me faire fuir, mais bordel, je mate des Stanley Tong quoi! Je suis une guerrière, alors j'ai visionné!
Imaginer un film tourné dans la maison carton plastique coloré de votre poupée Barbie et mettez y des poupées Bitch vivantes et siliconées comme les produits Mattel, saupoudrez le tout avec une intrigue à deux balles, des actrices et des acteurs aussi expressifs qu'une cuvette à chiotte, un réalisateur qui semble prendre son pied à filmer comme une raviolis, des blagues crasses à caractères sexuels et poopoo-pipi comme il faut (voir une blonde pété dans son bain ça vous branche? Une blonde utiliser une serviette hygiénique jumbo?) et vous obtenez cette chose hallucinante, qui fout les boules (ouais on a dépensez des thunes pour ça tout de même!), surprise aussi à la fin, un générique abérrant, puisque la très très Blonde Jenny McCarthy à ECRIT le Movie, rien d'étonnant que son petit ami de l'époque ne soit autre que John Mallory Asher Himself!
D'entrée de jeu, une scène d'amour insupportable où une voix off te
raconte comme c'est magnifique LE GRAND AMOUR, agrémenter de clichés
hollywoodiens bien vomitif, avant le cut et un plan sur le visage de
l'actrice blonde, le rimmel sous les yeux qui s'en remet pas de s'être
faite cocu et se roule par terre en agitant le popotin, dévoilant un
string noir et suppliant les passants de la baiser. Le plus choquant
bien sûr reste l'interprétation atroce de l'actrice, et ce n'est
malheureusement que le début. Le film a tout de même remporté des prix,
4 magnifiques razzie awards : plus mauvaise actrice, plus mauvaise
image, mauvais scénario, mauvais réalisateur, déjà bien auréolé de tous
ses prix, il n'est pas passé loin du plus mauvais couple à l'écran et
d'un autre prix dont je ne me souviens plus l'intitulé.
Le truc le plus fendart en fait c'est au menu lorsque l'actrice porno Melissa WHAT A FUCK? Lauren nous guide pour choisir ce que l'on veut qu'on lui fasse hummmmm! La pornstar qui n'est pas du tout dans le film (où j'ai dû louper sa croupe en second plan!) se retrouve dans les bonus du DVD, MELISSA JOUIT DU SON 5.1, je ne l'ai pas inventer celle là! Donc bon, un truc à avoir pour ses futurs gamins, histoire de dire "Ouais c'est là que tout à commencé à foiré et que maintenant votre génération se tape des bouses intensives avec du cul dedans quand même!"
Donc oui, le film plaira sans doute aux fans d'"American Pie" comme tout les autres Teen Movies de ce genre qui ont suivit, sans classes et originalités, border d'allusions à la fesse, à la fête, produits illicites en tout genre, et aux blagues potaches caca-pipi que même Michel Leeb il aurait pas oser. Personellement, c'est du formaté sans saveur qui en ajoute toujours un poil pubien de trop pour faire oublier le vide sidérant de sa forme.
* Bonsoir, bonjour pistil de mon coeur, plaie de mon Dieu armé, doucement mon âme, ça bouillone toujours de poésie lorsque Jules résonne...
* Amen, mes chers retrouvés...
Rien que la jaquette criarde aurait dû me stopper (avec Jenny McCarthy, Carmen Electra, SUM41 et Pause-Caca de American Pie). L'histoire d'une connasse amoureuse et bonnasse, encore que pour sa chance elle est fausse blonde, qui tombe du cul lorsqu'elle surprend son petit ami top model avec une autre bitch blondasse! Alors elle cherche à se venger en essayant de le rendre jaloux jusqu'à trouver le grand amour! Oui bon, le synopsis aussi aurait dû me faire fuir, mais bordel, je mate des Stanley Tong quoi! Je suis une guerrière, alors j'ai visionné!
Imaginer un film tourné dans la maison carton plastique coloré de votre poupée Barbie et mettez y des poupées Bitch vivantes et siliconées comme les produits Mattel, saupoudrez le tout avec une intrigue à deux balles, des actrices et des acteurs aussi expressifs qu'une cuvette à chiotte, un réalisateur qui semble prendre son pied à filmer comme une raviolis, des blagues crasses à caractères sexuels et poopoo-pipi comme il faut (voir une blonde pété dans son bain ça vous branche? Une blonde utiliser une serviette hygiénique jumbo?) et vous obtenez cette chose hallucinante, qui fout les boules (ouais on a dépensez des thunes pour ça tout de même!), surprise aussi à la fin, un générique abérrant, puisque la très très Blonde Jenny McCarthy à ECRIT le Movie, rien d'étonnant que son petit ami de l'époque ne soit autre que John Mallory Asher Himself!
Le truc le plus fendart en fait c'est au menu lorsque l'actrice porno Melissa WHAT A FUCK? Lauren nous guide pour choisir ce que l'on veut qu'on lui fasse hummmmm! La pornstar qui n'est pas du tout dans le film (où j'ai dû louper sa croupe en second plan!) se retrouve dans les bonus du DVD, MELISSA JOUIT DU SON 5.1, je ne l'ai pas inventer celle là! Donc bon, un truc à avoir pour ses futurs gamins, histoire de dire "Ouais c'est là que tout à commencé à foiré et que maintenant votre génération se tape des bouses intensives avec du cul dedans quand même!"
Donc oui, le film plaira sans doute aux fans d'"American Pie" comme tout les autres Teen Movies de ce genre qui ont suivit, sans classes et originalités, border d'allusions à la fesse, à la fête, produits illicites en tout genre, et aux blagues potaches caca-pipi que même Michel Leeb il aurait pas oser. Personellement, c'est du formaté sans saveur qui en ajoute toujours un poil pubien de trop pour faire oublier le vide sidérant de sa forme.
Samedi 15 décembre 2007 à 19:16
La
nouvelle année approche à grand pas, et j'ai décidé de supprimer toutes
les nouvelles mise en ligne, je recherche à nouveau un correcteur ou
correctrice, fiable et libre cette fois, je n'ai plus vraiment la
patience de perdre du temps, ça m'atteint profondément, c'est comme si
on crachait sur ce que je faisai et c'est pire de s'imaginer que la ou
les personnes concernés s'en moquent éperdument. L'attente aussi,
peut-être que je ne met pas de pressions, mais ce n'est pas mon genre.
Là, pourtant ça urge... J'apprécie que l'on me propose de l'aide,
j'apprécie aussi que l'on tienne ses engagements (Plaiethore exclu!).
Si il y a au moins trois nouvelles que vous aimeriez sauver de la salle d'effacement (Le Cycle de Polly et le Cycle de Elle exclus), n'hésitez pas, mais d'ici 2008, elles vont progressivement disparaître. J'ai un nouveau projet en tête qui va me prendre un sacré bout de mon temps. D'ici là, bonne cuve pour la nouvelle année, orgies, dépouillages, cannibalisme et conneries en tout genre jusqu'à plus soif!
En attendant, je remercie les blogs qui m'ont filé la pêche, la trique et des crampes depuis que j'erre ici. Ils se reconnaîtront!
Peinture de Daniel Victor ©
Si il y a au moins trois nouvelles que vous aimeriez sauver de la salle d'effacement (Le Cycle de Polly et le Cycle de Elle exclus), n'hésitez pas, mais d'ici 2008, elles vont progressivement disparaître. J'ai un nouveau projet en tête qui va me prendre un sacré bout de mon temps. D'ici là, bonne cuve pour la nouvelle année, orgies, dépouillages, cannibalisme et conneries en tout genre jusqu'à plus soif!
En attendant, je remercie les blogs qui m'ont filé la pêche, la trique et des crampes depuis que j'erre ici. Ils se reconnaîtront!
Peinture de Daniel Victor ©
Lundi 3 décembre 2007 à 23:34
Regard sur la planète, regard sur les autres et tellement de choses, un peu moins de passivité, la colère et la rage existent, ce ne sont pas des putains de brûlures d'estomacs. Sans doute qu'on se foutait de ma gueule plus jeune avec mon logo gnangnan Fuck People Fuck Everything peint au typex sur mon sac noir, mais même plus vieille j'en penses pas moins et je garde encore mes pièces de rebellions d'adolescente fascinée par les grosses gueules! Marre de ces connards qui se plaignent qu'on les mate de travers alors que tu te promène avec des chaînes partout, marre de ces gens qui adoptent un style, une attitude pour en changer comme si c'était une mode d'intervertir son cerveau, marre de ces enflures qui écrasent tout pour avoir plus, Fuck People Fuck Everything, l'impression qu'ils sont tous en train de dormir et qu'ils apprécient qu'on leur donne le biberon, même si c'est de la merde acidulés!
Au dernier des Couillus!
Photo de Agnieszka Wozniak ©
Dimanche 4 novembre 2007 à 4:09
Décidement
en ce moment, on m'annonce des choses bien écoeurantes qui me rendent
encore plus pitoyablement sceptique quant à la nature humaine, j'étais
déjà assez pessimiste, voir misanthrope, pourtant, il y a toujours
quelque chose qui fait tout déborder, encore et encore... Juger par
vous même.
" Virginie, États-Unis, une jeune fille noire de 20 ans s'est fait kidnappée, torturée et violée pendant une semaine entière par 6
personnes de race blanche. Ce crime raciste s'est passé le 12 septembre 2007.
Ceux-ci lui ont fait subir les pires sévices, en effet ils l'ont forcée à manger des Rats, et de la merde de chien, l'ont violée à répétition, l'ont poignardée 4 fois dans la jambe, lui ont scalpée le crane et coupée les cheveux, l'ont étranglée à l'aide de corde, l'ont forcée à boire l'eau des toilettes, l'ont forcée à boire leur urine, ils lui ont coupée la cheville...
Les noirs américains se plaignent que les Médias n'en parlent pas assez du fait que ce soit six blancs âgés de 20 à 49 ans qui ont perpétrés cet acte inhumain.
Et nous ici en France ?!! Que dalle non plus...
Malheureusement, on sait tous la guerre qu'aurait déclenchée les Médias occidentaux si c'était une petite fille blanche qui avait été ainsi agressée par 6 Noirs...
Et les bourreaux sont des personnes voulant faire renaitre le Ku Klux Klan.
Comme quoi le passé est toujours d'actualité, se faire torturer parce
que l'on a la peau noire est toujours de mise en 2007, le racisme existe
toujours autant voire même devient pire.
SOUTENEZ LA JEUNE MEGAN WILLIAMS
Voici 2 liens qui parlent de l'affaire:
Dailymotion
You Tube"
De toute les façon en France, 12% d'imbéciles pensent toujours qu'il y a des races supérieurs à d'autres et 30% se déclarent raciste. Le monde me fait vomir.
" Virginie, États-Unis, une jeune fille noire de 20 ans s'est fait kidnappée, torturée et violée pendant une semaine entière par 6
personnes de race blanche. Ce crime raciste s'est passé le 12 septembre 2007.
Ceux-ci lui ont fait subir les pires sévices, en effet ils l'ont forcée à manger des Rats, et de la merde de chien, l'ont violée à répétition, l'ont poignardée 4 fois dans la jambe, lui ont scalpée le crane et coupée les cheveux, l'ont étranglée à l'aide de corde, l'ont forcée à boire l'eau des toilettes, l'ont forcée à boire leur urine, ils lui ont coupée la cheville...
Les noirs américains se plaignent que les Médias n'en parlent pas assez du fait que ce soit six blancs âgés de 20 à 49 ans qui ont perpétrés cet acte inhumain.
Et nous ici en France ?!! Que dalle non plus...
Malheureusement, on sait tous la guerre qu'aurait déclenchée les Médias occidentaux si c'était une petite fille blanche qui avait été ainsi agressée par 6 Noirs...
Et les bourreaux sont des personnes voulant faire renaitre le Ku Klux Klan.
Comme quoi le passé est toujours d'actualité, se faire torturer parce
que l'on a la peau noire est toujours de mise en 2007, le racisme existe
toujours autant voire même devient pire.
SOUTENEZ LA JEUNE MEGAN WILLIAMS
Voici 2 liens qui parlent de l'affaire:
Dailymotion
You Tube"
De toute les façon en France, 12% d'imbéciles pensent toujours qu'il y a des races supérieurs à d'autres et 30% se déclarent raciste. Le monde me fait vomir.
Photo de Brent Stirton ©
Jeudi 1er novembre 2007 à 21:51
Peut-être
qu'on va me trouver trop sensible (il paraît que c'est très démodé de
ressentir des choses) mais à la lecture d'un mot à faire passer au
sujet d'une pétition, je dois dire que j'ai d'abord crut à une blague,
puis en voyant les photos, j'ai eu des envies de crimes bien torcher.
Figurer vous qu'un connard du nom de Guillermo Vargas alias Habacuc, costaricien, sous prétexte d'être un "artiste" et de faire de "l'Art", a capturé un chien dans un quartier pauvre, et l'a attaché à un coin d'une galerie où il exposait afin de le laisser mourir de faim, face à un public de merde qui n'a pas crut bon réagir une minute contre cette horreur (mais je ne crois pas qu'ils soient tous restés de marbre).
Malgré la pétition qui circule, ce petit enfoiré à été choisit pour représenter son pays à la Biennale d'Amérique Centrale 2008. Une aberration hallucinante lorsque délibérement on laisse crevé une bête au nom de l'Art??? Certes les Performances existent, la douleur infligée aussi, mais elles sont tentés par l'artiste lui-même ou avec la participation de personnes consentantes. Même David Nebreda, qui se laissait dépérir à été sauvé par ses proches alors qu'il n'avait absolument rien demandé. Le chien par contre est un animal et tout le monde sait qu'ils ne comptent pas bien entendu, l'a pas d'avis, c'est un objet de décoration qui doit servir, mais n'importe quoi!
" Une exposition réalisée dans une galerie: le Codex, au Nicaragua, de l'artiste costaricain par lequel arrive la polémique suite à la mort d'un chien pour une oeuvre "Habacuc". L'animal affamé a été utilisé pour son travail "l'Exposition N°1"
Des défenseurs des animaux répudient l'action et demandent d'exclure l'artiste de la Biennale Doriam Díaz | ddiaz@nacion.com.
L'artiste costaricien Guillermo Vargas, plus connu sous le pseudonyme d'Habacuc, est malheureusement devenu très connus à cause de la mort d'un chien.
Quelques défenseurs des animaux au Costa Rica se sont informés de son oeuvre à travers un blog et l'ont accusé hier de cruauté.
Ce qui a été vu à Managua, à son exposition; L'artiste met face au spectateur un chien errant, maigre, malade et affamé au coin de la salle. L'artiste a capturé l'animal dans un pauvre quartier de Managua.
Le chien est mort après des jours dans l'exposition, non loin, un tableau orné de croquettes où est écrit "Tu Es ce que tu lis"; ainsi qu'un message audio avec l'Hymne Sandinista à l'envers, des photos et un encensoir, où 175 pierres sont brûlées avec du crack et une once de marijuana.
Habacuc a dit hier que son oeuvre est un hommage à Nativité Canda, Nicaraguayen qui est mort après avoir été attaquer par deux rottweiler dans un atelier à Carthage. "
Effectivement, en Amérique Latine, parfois des traditions persistes, les animaux sont traités au plus mauvais niveau, mais lorsque cela devient médiatique, il faudrait sans doute enfin réagir.
Pour une oeuvre beaucoup plus conviviale, originale, moi je propose qu'on lui arrache les couilles, qu'on l'enferme ensuite dans un zoo, pour lui servir dans une gamelle oxydée ses bijoux de familles, et lui balancer des crachats bien gras à travers ses barreaux! A moins que ce type de crétins ait des problèmes avec le reste du monde et d'associations en tout genre comme il le mériterait.
" Premièrement,
il y a de quoi être satisfait par l'ampleur de la révolte des amis des
animaux du monde entier suite à l'ignominie commise par ce
pseudo-artiste du Costa Rica qui a laissé mourir de faim un pauvre
chien dans une galerie d'art.
La pétition a reçu plus de 176 000 signatures en seulement quelques jours et les organisateurs de la Biennale ont reçu des milliers de courriers.
Deuxièmement, l'association italienne OIPA nous annonces les premières retombées de ce mouvement de protestation : l'artiste présente ses excuses publiques et promet de ne plus jamais refaire un tel acte, il promet qu'il ne parlera plus de la mort de cet animal comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art. Les organisateurs de la biennale, inquiets de cette mauvaise publicité, demande des explications à cet artiste et remetent en cause la légitimité de sa présence durant la Biennale et plusieurs associations de protection animale étudient un moyen de poursuite judiciaire contre lui.
Le vice président de la Commission Européenne, lui-même, a envoyé une lettre d'indignation aux médias, demandant entre autres que les portes de l'Europe lui restent close. "
Figurer vous qu'un connard du nom de Guillermo Vargas alias Habacuc, costaricien, sous prétexte d'être un "artiste" et de faire de "l'Art", a capturé un chien dans un quartier pauvre, et l'a attaché à un coin d'une galerie où il exposait afin de le laisser mourir de faim, face à un public de merde qui n'a pas crut bon réagir une minute contre cette horreur (mais je ne crois pas qu'ils soient tous restés de marbre).
Malgré la pétition qui circule, ce petit enfoiré à été choisit pour représenter son pays à la Biennale d'Amérique Centrale 2008. Une aberration hallucinante lorsque délibérement on laisse crevé une bête au nom de l'Art??? Certes les Performances existent, la douleur infligée aussi, mais elles sont tentés par l'artiste lui-même ou avec la participation de personnes consentantes. Même David Nebreda, qui se laissait dépérir à été sauvé par ses proches alors qu'il n'avait absolument rien demandé. Le chien par contre est un animal et tout le monde sait qu'ils ne comptent pas bien entendu, l'a pas d'avis, c'est un objet de décoration qui doit servir, mais n'importe quoi!
" Une exposition réalisée dans une galerie: le Codex, au Nicaragua, de l'artiste costaricain par lequel arrive la polémique suite à la mort d'un chien pour une oeuvre "Habacuc". L'animal affamé a été utilisé pour son travail "l'Exposition N°1"
Des défenseurs des animaux répudient l'action et demandent d'exclure l'artiste de la Biennale Doriam Díaz | ddiaz@nacion.com.
L'artiste costaricien Guillermo Vargas, plus connu sous le pseudonyme d'Habacuc, est malheureusement devenu très connus à cause de la mort d'un chien.
Quelques défenseurs des animaux au Costa Rica se sont informés de son oeuvre à travers un blog et l'ont accusé hier de cruauté.
Ce qui a été vu à Managua, à son exposition; L'artiste met face au spectateur un chien errant, maigre, malade et affamé au coin de la salle. L'artiste a capturé l'animal dans un pauvre quartier de Managua.
Le chien est mort après des jours dans l'exposition, non loin, un tableau orné de croquettes où est écrit "Tu Es ce que tu lis"; ainsi qu'un message audio avec l'Hymne Sandinista à l'envers, des photos et un encensoir, où 175 pierres sont brûlées avec du crack et une once de marijuana.
Habacuc a dit hier que son oeuvre est un hommage à Nativité Canda, Nicaraguayen qui est mort après avoir été attaquer par deux rottweiler dans un atelier à Carthage. "
Effectivement, en Amérique Latine, parfois des traditions persistes, les animaux sont traités au plus mauvais niveau, mais lorsque cela devient médiatique, il faudrait sans doute enfin réagir.
Pour une oeuvre beaucoup plus conviviale, originale, moi je propose qu'on lui arrache les couilles, qu'on l'enferme ensuite dans un zoo, pour lui servir dans une gamelle oxydée ses bijoux de familles, et lui balancer des crachats bien gras à travers ses barreaux! A moins que ce type de crétins ait des problèmes avec le reste du monde et d'associations en tout genre comme il le mériterait.
La pétition a reçu plus de 176 000 signatures en seulement quelques jours et les organisateurs de la Biennale ont reçu des milliers de courriers.
Deuxièmement, l'association italienne OIPA nous annonces les premières retombées de ce mouvement de protestation : l'artiste présente ses excuses publiques et promet de ne plus jamais refaire un tel acte, il promet qu'il ne parlera plus de la mort de cet animal comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art. Les organisateurs de la biennale, inquiets de cette mauvaise publicité, demande des explications à cet artiste et remetent en cause la légitimité de sa présence durant la Biennale et plusieurs associations de protection animale étudient un moyen de poursuite judiciaire contre lui.
Le vice président de la Commission Européenne, lui-même, a envoyé une lettre d'indignation aux médias, demandant entre autres que les portes de l'Europe lui restent close. "
Jeudi 25 octobre 2007 à 3:41
Je
croyais pouvoir éviter certaines choses, me changer, mais ça a été
pire que tout. En voulant me métamorphoser en héroïne, je suis devenue
une drogue faible. La peau autour du coeur est un calcin vermillon qui bouillone
se repaît de drames, dévaste tout et ne fait que me rendre
ignoble. Je blesse, je coupe, je lascère, je gerbe, je masturbe, ça
devient une orgie de mots et de sentiments mal consommés, de maux las,
de mots plats, de molards écoeurants...
Comment leur dire que ce virus qui se répand et s'étend est quelque chose à l'intérieur qui se renforce, que les larmes n'y changent rien, que les cris et les violences ne marquent pas puisque le fer rouge qu'on vous a imprimer au fond fait beaucoup plus de ravage sur le long terme, qu'il se larve et grossit, devient informe en se nourrissant de vous, des craintes, peurs, reproches, complexes, du passé, des crises...
Comment tenir debout encore et encore en se levant, en essayant de s'apprécier, se forcer à aimer l'image qui se renvoit, qui vous méprise et vous juge, vous accuse de lâcheté, vous enfonce ce doigt accusateur jusqu'au fond des orbites, au tréfond des tripes, des bites molles, des beats morts, des sons qui vrillent l'estomacs, perce les organes, orgasme du soir, orgasme du matin, sarcasme toujours, bonjour mes peines, bonsoir ma jouissance, à bientôt ma honte, à mort ma culpabilité, à dos mes amours.
Ils ne seront jamais comme ça brûle à l'intérieur, à l'envers comme ça étourdit, à l'endroit comme ça régurgite, comme ça résonne dans le fond. Ca pisse de larmes et de rage, ça retient comme une éponge et ça déborde lorsque le seau est trop plein de tout. J'ai brisé des miroirs pour ne plus jamais voir ses yeux là et ses faiblesses à elle, pauvre conne sans courage qui a fuit, qui court, qui pousse et se rompt le cou, qui ne se défend plus.
Les images reviennent, les sensations, une vie d'insensée, un vide souffrance, et se taire, se comprimer, devenir un morceau de rien qui se cache et se mutile, n'être qu'un bout de chagrin, chair qui s'interroge et se juge. Je crois, je panse, je stérilise, je crise, tout me grise et me contamine, mais tant que cela bats encore, ça vit mon coeur, tant que cela se consumme encore, ça ne passera pas le mur du son mes secrets.
Comment leur dire que ce virus qui se répand et s'étend est quelque chose à l'intérieur qui se renforce, que les larmes n'y changent rien, que les cris et les violences ne marquent pas puisque le fer rouge qu'on vous a imprimer au fond fait beaucoup plus de ravage sur le long terme, qu'il se larve et grossit, devient informe en se nourrissant de vous, des craintes, peurs, reproches, complexes, du passé, des crises...
Comment tenir debout encore et encore en se levant, en essayant de s'apprécier, se forcer à aimer l'image qui se renvoit, qui vous méprise et vous juge, vous accuse de lâcheté, vous enfonce ce doigt accusateur jusqu'au fond des orbites, au tréfond des tripes, des bites molles, des beats morts, des sons qui vrillent l'estomacs, perce les organes, orgasme du soir, orgasme du matin, sarcasme toujours, bonjour mes peines, bonsoir ma jouissance, à bientôt ma honte, à mort ma culpabilité, à dos mes amours.
Ils ne seront jamais comme ça brûle à l'intérieur, à l'envers comme ça étourdit, à l'endroit comme ça régurgite, comme ça résonne dans le fond. Ca pisse de larmes et de rage, ça retient comme une éponge et ça déborde lorsque le seau est trop plein de tout. J'ai brisé des miroirs pour ne plus jamais voir ses yeux là et ses faiblesses à elle, pauvre conne sans courage qui a fuit, qui court, qui pousse et se rompt le cou, qui ne se défend plus.
Les images reviennent, les sensations, une vie d'insensée, un vide souffrance, et se taire, se comprimer, devenir un morceau de rien qui se cache et se mutile, n'être qu'un bout de chagrin, chair qui s'interroge et se juge. Je crois, je panse, je stérilise, je crise, tout me grise et me contamine, mais tant que cela bats encore, ça vit mon coeur, tant que cela se consumme encore, ça ne passera pas le mur du son mes secrets.
Illustration de Karl Persson ©
Dimanche 7 octobre 2007 à 0:48
Non
content de m'avoir cassé les oreilles avec La coupe Du monde de
Football, où j'avais envie d'exploser tout le monde, je ne savais pas
alors que j'assistais à la recrudescence de gros moutons bien cons qui
allaient passés leur temps à me les briser de nouveau avec la Coupe du
Monde de Rugby. Car ce soir (France-All Blacks je crois), c'est le pet qui a fait débordé mon nez.
Avant même le début de cette rencontre de merde, les spots, les publicitaires, tout le monde chantonnaient "Allez Les Bleus" ou encore "Les Français derrière les blues" AMEN!, On nous martelait de phrases magiques lavomatic, d'images cool qui nous essorait la cervelle pour nous faire kiffer un sport jusque là pas trop considéré par la populace. Mais comme on ai jamais trop stupide, les yeux exhorbités et la face grimer des couleurs de drapeaux - plus ridicule tu meurt -, les gens se précipitent au bar, et beuglent comme des beaufs dès qu'un mammouth avec sa baballe fait quelque chose d'apparemment extraordinaire pour le pays.
Dès que la France accomplit un "exploit" les gens deviennent encore plus idiots et c'est le zoo sur le net, les blogs, dehors, et vas-y que ça hurle et vas-y que ça chiale et vas-y que ça me les brise, pollution sonore et visuelle en prime... Parce qu'encore si ça ne m'empêchait pas de dormir les coups de klaxons ou les "On a gagner!" bien chiants anôner par des bouffonnes et des pouilleux dans la rue, dans le métro partout en gros, je m'en porterais pas plus mal, c'est sûr, je déteste être gavé comme une oie et entuber en même temps pour des futilités en plus. Comme si ça allait changer la situation merdique de leur existence déjà bien compliquer, les gens glorifient des bites comme des Dieux vivants alors que c'est le bordel autour et qu'il y a des choses beaucoup plus importantes pour l'avenir et plus intéressantes que le cul d'un connard bordé de frique.
Le Sport rassemble le peuple ? Non, mais si il faut ça pour s'entendre c'est que les gens sont encore plus cons que je ne le pense, si il faut que des types sur un terrain marquent des points pour vous exciter c'est que c'est pire, (parce que je pensais comme une idiote qu'on avait un peu évoluer depuis les Jeux du Cirque Romains quand même), et si en plus les médias arrivent à vous faire bouffer n'importe quoi, c'est que les moutons sont de plus en plus nombreux et ça fait vraiment peur.
Photo de Andrea Giacobbe ©
Avant même le début de cette rencontre de merde, les spots, les publicitaires, tout le monde chantonnaient "Allez Les Bleus" ou encore "Les Français derrière les blues" AMEN!, On nous martelait de phrases magiques lavomatic, d'images cool qui nous essorait la cervelle pour nous faire kiffer un sport jusque là pas trop considéré par la populace. Mais comme on ai jamais trop stupide, les yeux exhorbités et la face grimer des couleurs de drapeaux - plus ridicule tu meurt -, les gens se précipitent au bar, et beuglent comme des beaufs dès qu'un mammouth avec sa baballe fait quelque chose d'apparemment extraordinaire pour le pays.
Dès que la France accomplit un "exploit" les gens deviennent encore plus idiots et c'est le zoo sur le net, les blogs, dehors, et vas-y que ça hurle et vas-y que ça chiale et vas-y que ça me les brise, pollution sonore et visuelle en prime... Parce qu'encore si ça ne m'empêchait pas de dormir les coups de klaxons ou les "On a gagner!" bien chiants anôner par des bouffonnes et des pouilleux dans la rue, dans le métro partout en gros, je m'en porterais pas plus mal, c'est sûr, je déteste être gavé comme une oie et entuber en même temps pour des futilités en plus. Comme si ça allait changer la situation merdique de leur existence déjà bien compliquer, les gens glorifient des bites comme des Dieux vivants alors que c'est le bordel autour et qu'il y a des choses beaucoup plus importantes pour l'avenir et plus intéressantes que le cul d'un connard bordé de frique.
Le Sport rassemble le peuple ? Non, mais si il faut ça pour s'entendre c'est que les gens sont encore plus cons que je ne le pense, si il faut que des types sur un terrain marquent des points pour vous exciter c'est que c'est pire, (parce que je pensais comme une idiote qu'on avait un peu évoluer depuis les Jeux du Cirque Romains quand même), et si en plus les médias arrivent à vous faire bouffer n'importe quoi, c'est que les moutons sont de plus en plus nombreux et ça fait vraiment peur.
Photo de Andrea Giacobbe ©