Fellation d'une adoration hisurte, où se mêle la chair et les os des bienheureux.
La matière intrinsèque de cette peau au goût de mélisse, drogue d'une vie entière passer entres les jambes d'une femme muette.
C'est ce couteau qui blesse, c'est cette lame qui engendre ces autres monstres.
C'est un champ de bataille silencieux, un soldat de plomb, une frayeur extatique, une fureur phénique dans un monde plein de ressentiments.
Des ténèbres, un voile de linceul sombre semble caressé vos corps froids et sans idéal.
Voisé ces cris et ses yeux lumineux à travers ce temps anisotrope,
dans le noir, les étreintes semblent plus cruelles.
La matière intrinsèque de cette peau au goût de mélisse, drogue d'une vie entière passer entres les jambes d'une femme muette.
C'est ce couteau qui blesse, c'est cette lame qui engendre ces autres monstres.
C'est un champ de bataille silencieux, un soldat de plomb, une frayeur extatique, une fureur phénique dans un monde plein de ressentiments.
Des ténèbres, un voile de linceul sombre semble caressé vos corps froids et sans idéal.
Voisé ces cris et ses yeux lumineux à travers ce temps anisotrope,
dans le noir, les étreintes semblent plus cruelles.
Décharges électriques de ce fardeau bien aimé, sperm anisant, goût amer rempli de colère et de grâce.
Commisérations vaines et savoir douloureux lorsque les contusions apparaissent sur vos peaux indélébiles.
Faite moi savoir le mal, faite moi comprendre le viol de votre âme.
Connaître l'étrange sensation de la folie enivrante qui vous tourmente et vous chérit entres ses immenses bras maigres, mais ne voir que ses yeux et ses lèvres pour exsuder la vermine, élimer ses traits et dévorer ses lambeaux, éluder les angoisses éternelles sans tromper la fidèle douleur qui a assisté à votre venue dans ce monde de charpie, cette zone de destruction massive, de récupération de déchets organiques et sans passions.
Commisérations vaines et savoir douloureux lorsque les contusions apparaissent sur vos peaux indélébiles.
Faite moi savoir le mal, faite moi comprendre le viol de votre âme.
Connaître l'étrange sensation de la folie enivrante qui vous tourmente et vous chérit entres ses immenses bras maigres, mais ne voir que ses yeux et ses lèvres pour exsuder la vermine, élimer ses traits et dévorer ses lambeaux, éluder les angoisses éternelles sans tromper la fidèle douleur qui a assisté à votre venue dans ce monde de charpie, cette zone de destruction massive, de récupération de déchets organiques et sans passions.
L'exaction de ces notes fragiles, mélodies grisantes que celle de la jouissance de la musique.
Rêver d'être maltraité, perdre la raison jusqu'à s'enlaidir à travers cette lame soupeser et si fine, me piquer pour assoiffer le démon, évicter l'enfant qu'est ce cœur si lourd dans ma poitrine.
Rêver de connaître la chose visqueuse qui s'insinue malveillante dans ce sang, une âme aussi pourrit que la désuétude.
Pardonnez mes abondons et mes interstices, c'est que la faiblesse à bien des visages cruels.
Rêver de connaître la chose visqueuse qui s'insinue malveillante dans ce sang, une âme aussi pourrit que la désuétude.
Pardonnez mes abondons et mes interstices, c'est que la faiblesse à bien des visages cruels.