Paracelsia

† La Madone Anthracite †

Samedi 15 décembre 2007 à 19:16

La nouvelle année approche à grand pas, et j'ai décidé de supprimer toutes les nouvelles mise en ligne, je recherche à nouveau un correcteur ou correctrice, fiable et libre cette fois, je n'ai plus vraiment la patience de perdre du temps, ça m'atteint profondément, c'est comme si on crachait sur ce que je faisai et c'est pire de s'imaginer que la ou les personnes concernés s'en moquent éperdument. L'attente aussi, peut-être que je ne met pas de pressions, mais ce n'est pas mon genre. Là, pourtant ça urge... J'apprécie que l'on me propose de l'aide, j'apprécie aussi que l'on tienne ses engagements (Plaiethore exclu!).

Si il y a au moins trois nouvelles que vous aimeriez sauver de la salle d'effacement (Le Cycle de Polly et le Cycle de Elle exclus), n'hésitez pas, mais d'ici 2008, elles vont progressivement disparaître. J'ai un nouveau projet en tête qui va me prendre un sacré bout de mon temps. D'ici là, bonne cuve pour la nouvelle année, orgies, dépouillages, cannibalisme et conneries en tout genre jusqu'à plus soif!

En attendant, je remercie les blogs qui m'ont filé la pêche, la trique et des crampes depuis que j'erre ici. Ils se reconnaîtront!


Peinture de Daniel Victor
©


Lundi 3 décembre 2007 à 23:34



Mais qu'est ce qui arrive? Vous êtes mort? L'impression atroce qu'on a lobotomisé la planète entière, que les gens n'ont plus de conscience et ne veulent plus hurler, se laisse aller au plis pour péter aussi droit que la masse, que plus la génération avance, plus elle se zombifie. Consommation de débats faussés, de leaders carnassiers, d'acides idéales, de groupes et de films stupides médiatisés pour nous rendre tout aussi con. Nombrilistes et lisses comme des brebis gras, on marche au pas tout comme les gosses de "The Wall", on laisse des pétasses et des merdeux lookés punk BCBG nous dire comment être rebelles, mais merde! La honte, quand tu sais que des gens ont tout fait péter pour nous montrer la voie, et ça se ratatine comme des bouseux... Je deviendrais sûrement mauvaises si certaines personne ne me faisait pas bander à envoyé chier avec lyrisme ou attitudes roustes dans tes couilles les quelques concepts ultra chiants, les cases où on voudrai nous inclure, que toute cette pourriture accro au luxe et dépendante à la bouillasse qu'on nous présente comme normalitée dans ce monde devenus quasi mécanique et alarmant.

Regard sur la planète, regard sur les autres et tellement de choses, un peu moins de passivité, la colère et la rage existent, ce ne sont pas des putains de brûlures d'estomacs. Sans doute qu'on se foutait de ma gueule plus jeune avec mon logo gnangnan Fuck People Fuck Everything peint au typex sur mon sac noir, mais même plus vieille j'en penses pas moins et je garde encore mes pièces de rebellions d'adolescente fascinée par les grosses gueules! Marre de ces connards qui se plaignent qu'on les mate de travers alors que tu te promène avec des chaînes partout, marre de ces gens qui adoptent un style, une attitude pour en changer comme si c'était une mode d'intervertir son cerveau, marre de ces enflures qui écrasent tout pour avoir plus, Fuck People Fuck Everything, l'impression qu'ils sont tous en train de dormir et qu'ils apprécient qu'on leur donne le biberon, même si c'est de la merde acidulés!

Au dernier des Couillus!

Photo de Agnieszka Wozniak ©

Jeudi 25 octobre 2007 à 3:41

Je croyais pouvoir éviter certaines choses, me changer, mais ça a été pire que tout. En voulant me métamorphoser en héroïne, je suis devenue une drogue faible. La peau autour du coeur est un calcin vermillon qui bouillone se repaît de drames, dévaste tout et ne fait que me rendre ignoble. Je blesse, je coupe, je lascère, je gerbe, je masturbe, ça devient une orgie de mots et de sentiments mal consommés, de maux las, de mots plats, de molards écoeurants...
Comment leur dire que ce virus qui se répand et s'étend est quelque chose à l'intérieur qui se renforce, que les larmes n'y changent rien, que les cris et les violences ne marquent pas puisque le fer rouge qu'on vous a imprimer au fond fait beaucoup plus de ravage sur le long terme, qu'il se larve et grossit, devient informe en se nourrissant de vous, des craintes, peurs, reproches, complexes, du passé, des crises...
Comment tenir debout encore et encore en se levant, en essayant de s'apprécier, se forcer à aimer l'image qui se renvoit, qui vous méprise et vous juge, vous accuse de lâcheté, vous enfonce ce doigt accusateur jusqu'au fond des orbites, au tréfond des tripes, des bites molles, des beats morts, des sons qui vrillent l'estomacs, perce les organes, orgasme du soir, orgasme du matin, sarcasme toujours, bonjour mes peines, bonsoir ma jouissance, à bientôt ma honte, à mort ma culpabilité, à dos mes amours.
Ils ne seront jamais comme ça brûle à l'intérieur, à l'envers comme ça étourdit, à l'endroit comme ça régurgite,  comme ça résonne dans le fond. Ca pisse de larmes et de rage, ça retient comme une éponge et ça déborde lorsque le seau est trop plein de tout. J'ai brisé des miroirs pour ne plus jamais voir ses yeux là et ses faiblesses à elle, pauvre conne sans courage qui a fuit, qui court, qui pousse et se rompt le cou, qui ne se défend plus.
Les images reviennent, les sensations, une vie d'insensée, un vide souffrance, et se taire, se comprimer, devenir un morceau de rien qui se cache et se mutile, n'être qu'un bout de chagrin, chair qui s'interroge et se juge. Je crois, je panse, je stérilise, je crise, tout me grise et me contamine, mais tant que cela bats encore, ça vit mon coeur, tant que cela se consumme encore, ça ne passera pas le mur du son mes secrets.

Illustration de Karl Persson ©

Dimanche 7 octobre 2007 à 0:48

Non content de m'avoir cassé les oreilles avec La coupe Du monde de Football, où j'avais envie d'exploser tout le monde, je ne savais pas alors que j'assistais à la recrudescence de gros moutons bien cons qui allaient passés leur temps à me les briser de nouveau avec la Coupe du Monde de Rugby. Car ce soir (France-All Blacks je crois), c'est le pet qui a fait débordé mon nez.

Avant même le début de cette rencontre de merde, les spots, les publicitaires, tout le monde chantonnaient "Allez Les Bleus" ou encore "Les Français derrière les blues" AMEN!, On nous martelait de phrases magiques lavomatic, d'images cool qui nous essorait la cervelle pour nous faire kiffer un sport jusque là pas trop considéré par la populace. Mais comme on ai jamais trop stupide, les yeux exhorbités et la face grimer des couleurs de drapeaux - plus ridicule tu meurt -, les gens se précipitent au bar, et beuglent comme des beaufs dès qu'un mammouth avec sa baballe fait quelque chose d'apparemment extraordinaire pour le pays.
Dès que la France accomplit un "exploit" les gens deviennent encore plus idiots et c'est le zoo sur le net, les blogs, dehors, et vas-y que ça hurle et vas-y que ça chiale et vas-y que ça me les brise, pollution sonore et visuelle en prime... Parce qu'encore si ça ne m'empêchait pas de dormir les coups de klaxons ou les "On a gagner!" bien chiants anôner par des bouffonnes et des pouilleux dans la rue, dans le métro partout en gros, je m'en porterais pas plus mal, c'est sûr, je déteste être gavé comme une oie et entuber en même temps pour des futilités en plus. Comme si ça allait changer la situation merdique de leur existence déjà bien compliquer, les gens glorifient des bites comme des Dieux vivants alors que c'est le bordel autour et qu'il y a des choses beaucoup plus importantes pour l'avenir et plus intéressantes que le cul d'un connard bordé de frique.


Le Sport rassemble le peuple ? Non, mais si il faut ça pour s'entendre c'est que les gens sont encore plus cons que je ne le pense, si il faut que des types sur un terrain marquent des points pour vous exciter c'est que c'est pire, (parce que je pensais comme une idiote qu'on avait un peu évoluer depuis les Jeux du Cirque Romains quand même), et si en plus les médias arrivent à vous faire bouffer n'importe quoi, c'est que les moutons sont de plus en plus nombreux et ça fait vraiment peur.

Photo de Andrea Giacobbe
©

Vendredi 7 septembre 2007 à 23:30

J'ai maintes fois dis oui au choufleur et je lui ai souvent fait des propositions en l'air comme ça pour déconner ou peut-être par pur plaisir, lorsqu'on ne se sent plus péter d'être heureuse d'un coup comme ça (même si c'est un sentiment assez fugace), mais c'était avant l'horreur.

Je n'avais jamais assisté à un mariage de ma vie, en bonne squatteuse et pique assiette, je déboulais pimpampe à la soirée d'après; alcool, bouffe et danse et encore... C'était sans compter que j'ai enfin pû assister en live à ce que je qualifierais de la plus belle perte de temps au monde. Codifié, sérieux et ennuyeux à mourrir, se taper un mariage du début à la fin c'est comme mater 4 épisodes d'affilés "d'Amour Gloire et Beauté" non-stop, autant dire qu'à la fin on a juste envie de se faire sauter le caisson ou de mitrailler tout le monde. C'est coulant de bon sentiments, de larmes et de voeux à la noix, de photographes qui te fige dans une pose pas naturelle et de mioches horripilants tout comme de gens chiants pas mal dans le genre, de musiques merdiques avec un DJ à la con qui te fait hurlez de rire tout de même derrière ses platines tellement il a l'air con, et ultime catastrophe, les animateurs qui vous feraient avalez un cachet de cyanure sans regrets. Imaginez l'angoisse!

Moi j'avais rêvé depuis la demande du choufleur, d'un truc barge, inoubliable, qu'il aurait à nouveau les cheveux très long, d'un banquet barbare, un truc très celtique avec du death à fond et un druide qui resssemblerait au père Fourrasse pour nous unir et hop lune de miel de baston pour obtenir les faveurs de la valkyrie, limite un truc bien bourrin avec mon pote qui jouerais une marche nuptiale à la guitare électrique, ma robe particulière, mes ornements très Tolkiennesque et des chansons des pays du monde entier allant du tribal au son bien huilé et discornus de la guitare et des basses, l'orgie que diable! "Mais quelle est conne elle, me disait ma mère, c'est pas un carnaval merde c'est un mariage, c'est pire que ton trip d'allez te marier à la pleine lune en Ecosses aux milieux de dolmens, t'es pas dingue non" pour ma défense j'avais 13 ans alors ça ne comptait pas, je devais m'être tapé tout un bouquin sur les légendes celtiques qui m'avaient bien fait saliver.

Pour bien enfoncer le clou de ma déception de cette institution de furieux (non parce que vu l'état de stress et l'hystérie que ça génère, c'est bien un truc de malades) on m'invite à un second mariage, et là ça m'a achever, moi et le choufleur on s'est regardé dans les yeux, j'avais envie de chialer tellement s'était pas mon cadre d'être là, tellement je ne collait pas aux autres avec mes oripeaux sombres, ma peau noire, mes piercings et mes chaussures aux broches à têtes de morts, je m'emmerdais comme jamais auparavant espèrant me réfugier loin avec mon légume et me faire sauter pour reprendre du poil de la bête. Nous nous sommes regardés et on pensaient tout les deux à la même chose: C'est vraiment pas pour nous ces conneries, ça fait 5 ans qu'on se broute le cul sans embrouilles on va pas commencer maintenant pour une simple histoire d'alliance... MERDE!
Illustration de SAT ©

Samedi 1er septembre 2007 à 19:22

Dans la tradition du "Je suis grave pathétique pour le moment et je kiffe ça", en ce samedi matin où j'ai passé la matinée à aboyer sur tout ceux qui osait troublé mes ronflements de bonheur, je m'étonne de me retrouver seule à ne rien faire, à ne savoir qui joindre, car je l'admet, je suis si sélective que ça en devient critique, je n'ai plus de compagnons d'armes.
Le chou-fleur ayant une vie à côté je ne peux que l'appeler pour lui donner l'ordre de s'embrouiller avec moi, parce que bon sang! Qu'est ce que je m'emmerde!
Mais étant moi même agacé par ce genre de nana sangsues accroché à leur homme comme un chewing-gum et chieuse à deux balles, ça m'a vite donné la nausée.
Alors j'ai osé faire quelque chose que je ne pensais plus faire depuis longtemps, vu que j'avais l'impression d'être mauvaise en ce domaine, j'ai relut des pages de cochonneries, de brouillons que j'avais passé du temps à écrire et qui me rendait fière de moi, j'ai continué à écrire et écrire... Puis j'ai osé faire la chose la plus stupide au monde, ouvrir les vieilles lettres de l'ancien pot-au-feu de mon existence, ce que cela peut être incendiaire comme situation, j'ai eu de la nostalgie et ça ne fait guère culpabiliser, bien au contraire cela m'a ouvert les yeux sur le fait qu'il a toujours eu raison à mon sujet, que je devais être plus ouverte et accepter les autres sinon sur quelle épaules on irait foutre sa morve dès qu'il y a un problème? A qui on irait cassé les couilles? Et comme il le disait si bien, "Ma loutre tu as des tas de problèmes, tes grains de folies prouvent que tu es à part et c'est ce qui attire mais ça te fait rétrécir parce qu'au fond personne ne sait qui tu es? Tu le sait toi?". Il y a des gens qui vous illumine tellement ils vous donnent envie d'exister, mais d'un coup, là, je me sens vide et transparente parce que j'ai bien peur de ne pas savoir qui je suis, pour éviter de disparaître je me donne des airs de garces sympathiques, j'essaye d'aider ceux que j'apprécie mais ça finit toujours par te secouer vraiment et on fini par te laisser tomber ou par continuer à te démontrer que malgré les efforts et la patience tu perds du temps. Je suis la première tétanisée lorsqu'on me complimente ou qu'on semble m'apprécier pour de vrai, je suis une bavarde offensante et complexée parce que l'on m'asphixie de mépris et que le monde entier me sort par le trou de balle.

Photo de Sofia Coppola de Inez van Lamsweerde & Vinoodh Matadin
©

Samedi 25 août 2007 à 0:57


Il arrive parfois que l'on se sente las de tout, qu'une masse énorme vous pèse sur les épaules au point de faire de vous un zombie au sens propre du terme. C'est à se croire mort vivant d'exister sans désir et aucune envie, ce genre d'état est particulier, car parfois ce grand vide fait un bien fou et parfois cela vous donne la nausée, alors on se prends en main, on se vide dans le cœur d'un autre pour se sentir mieux en attente d'un geste ou d'un réconfort qui comblera la faille, ce que j'ai toujours rêvé de réaliser me paralyse totalement, je passe un temps fou à essayer de faire sourire les autres, clown triste de merde, et ça me bousille de me rendre compte que je n'arrive pas à faire de même pour moi. Me plaindre est une chose que j'ai du mal à concevoir, il est plus facile d'émaillé ce blog de souvenirs et d'engelures dramatiques parce que malgré tout, malgré la sincérité, les gens ne font que passer sans emporter ces bouts de moi avec eux et j'aime cette idée, cela m'étonne parfois même de raconter des choses réelles que certains vont trouver si énorme qu'ils me féliciteront pour l'histoire que je viens de crée.
Malheureusement, c'est une chose que j'ai pût voir en tout temps et en chacun de nous, on se vide pour mieux se débarrasser et lorsque c'est au tour de l'autre, on arque le sourcil afin de paraître concentré et intéresser mais rien n'y fait, on s'en fout royalement. Je n'ai jamais eu l'occasion de vomir ma vie et mes tourments sans tournures de phrases joyeuses alors que c'est le noir complet.
Je suis une personne de nature exubérante et sans gêne, et pourtant, dire ce qui fait mal à l'autre reste un putain d'obstacle jonché de pièges, peur de paraître ridicule, de pleurer ou de vomir, l'angoisse que je ressens lorsque j'essaye un temps soi peu d'être enfin la victime me rends immédiatement malade, on m'a qualifier de froide, d'insensible, de snob, mais si l'on savait comme je suis faible, qu'on arrête de croire que je suis quelqu'un de "fort", parce que quand cela devient douloureux j'ai moi aussi la prétention de m'éventrer, même si c'est en silence tout au fond de mes tripes, ça me brûle, ça enfle et ça bouillonne… Si j'ai longtemps chercher auprès des hommes et des femmes, leur peau, leur contact ou leur amour éphémères c'était pour me sentir aimer, respirer, renaître et illusoire, sale et poisseuse, je comprends chaque fois que je m'arnaque moi-même, car je cherche sans cesse le stimuli pour évicter ce qui ne va pas.


Photo de Lasse Hoile
©

Dimanche 17 juin 2007 à 1:03

J'écris un article inutile juste pour une demande.




Je recherche un correcteur(trice) qui serait susceptible de corriger une tonne de conneries écrite par moi, quelqu'un avec une critique acerbe qui aurait le temps de faire ce genre de chose, quelqu'un de confiance et de bon. Je suis tellement en retard à cause de cela que mon désespoir m'amène à faire une demande via ce blog.
Quelqu'un m'a déjà énormément aidé, mais il a une vie déjà très très prise, je ne veux plus l'ennuyer.


Merci d'avance!






Photo
de Ewa Brzozowska
©

Jeudi 31 mai 2007 à 22:55

Assise dans un bus, Ministry pleins les oreilles, je me demande encore comment j'ai fait pour entendre le moindre son extérieur, c'est-à-dire la voix assez rocailleuse d'un grand dadais à la peau brune qui nous contait ses misères en créoles, manque de pot, je comprends tout, et ça m'exaspère. Pauvre enfant qui se plaignait des blancs, des juifs, des arabes et des africains, comme si lui, ses fringues à l'américaine et son joint dans la main était beaucoup mieux loti. Et vas-y que je suis un pauvre noir rejeté de tous, et vas-y que ça m'empêche pas de me mettre tout seul dans ma tombe et de cracher sur toutes les autres races en demandant le respect de la mienne. Il se serait arrêté là, je n'en aurait rien eu à fiche, mais là il y va sur les blacks panthers qui étaient cool parce qu'ils buttaient des blancs. J'avais envie de lui demander qui étaient les fondateurs de ce mouvement et ce qu'il était en réalité au lieu de sortir les clichés propager par ses gentils monsieurs blancs du FBI à l'époque, que ce couillon ressort comme un trophée.
La moitié du temps j'ai envie de leur filer des gifles à ma communauté. Quand on me dit de croire en Jésus et en dieu, j'ai une envie folle de leur demander pourquoi il croient en un personnage imposer par leurs super potes esclavagistes jusqu'à en faire un de leur leader alors qu'ils sont censé ne pas aimé les blancs. Tout comme le tatouage et piercing qui serait une invention occidentale alors que c'est purement tribal, que ce sont des tribus d'Océanie, d'Afrique et d'Asie qui utilisaient ces pratiques traditionnelles et ancestrales. Envie aussi de leur demande pourquoi ils se blanchissent la peau, pourquoi ils se mettent des perruques et pourquoi ils n'aiment pas les gens trop noirs... Ils se renient eux-mêmes tout en te montrant du doigt, ça, c'est la mouche qui fait déborder le caca.
C'est un monde de fou et d'hypocrisie totale, les arabes méprisent les noirs et les juifs, les juifs méprisent les arabes, les blancs méprisent les arabes et les noirs, les antillais méprisent les africains et les haïtiens, les haïtiens méprisent les arabes, les africains, idem pour les portugais et j'en passe, c'est ahurissants et ce sont les premiers à pleurnicher pour qu'on les respectent. Les nationalistes me donnent déjà envie de gerber, imaginer les gens qui sont censés subir des injustices et qui se vautre dans le racisme ordinaire, c'est beaucoup moins glorieux et foutrement plus gerbant. Lorsque je me promène avec mon chou-fleur aussi pâle qu'un linge, et que l'on nous dévisage comme si on était la pire chose au monde, j'ai bien envie de gueuler « bah oui mon brave, ma chatte est multiethnique et elle le vaut bien ». Bon sang ! Si seulement les pauvres petites victimes blacks-beurs de « la société » arrêtait de se complaire dans la victimisation, ils seraient moins débiles et ne seront plus les petits singes bruyants et violents que la presse, les religieux et les politiques se plaisent à manipuler pour vendre leur choux gras et gagner des électorats ou des fidèles. Mes ancêtres ce sont battus pour que je puisses marcher dans les rues libre, je n'ai pas à rester couché qu'on me plaigne, la vie c'est de s'en sortir, je n'ai pas à imaginer une croix que je n'ai jamais porter. Si seulement ces pauvres petits blancs arrêtaient de pleurer sur leur sort et se défendaient un peu plus au lieu de la fermer ou de basculer dans le côté obscure du nationalisme.
Avec des si, ce serait chouette de pouvoir péter la gueule à tous ces cons. J'adore les homos, ça m'éclate de les voir s'embrasser et ça me plairait qu'ils aient des gosses, j'adore le piercing et le tatouage, j'adore le vice et les gens libres me fascinent, les nudistes me plaisent, la religion me passe au-dessus de la tête, toutes les nations me plaisent, mais les trous d'balles! Purin, je suis une grosse raciste à ce sujet.


Photo de Jeffery Scott ©

Dimanche 20 mai 2007 à 18:30

Force est de constater que je suis peut-être un peu trop rapide, ou trop sincère, on ne me prends pas au sérieux la moitié du temps, alors que ce soit dans la vraie vie ou sur la toile virtuelle, je ne m'amuse pas à inventer un personnage pour déstabilisez les gens ou crée du malaise. Peut-être que je ne sais pas m'y prendre pour prouver aux autres à quel point ils me plaisent, à quel point ils me fascinent, à quel point j'ai envie d'eux ou encore à quel point je tiens à eux, mais rien n'est mensonge. Force est de constater aussi combien certaines de ces personnes se dévaluent alors que pour moi ils sont aussi brillants qu'un diamant. J'ai fais la connaissance de personnes sur la plage virtuelle qui avaient tous quelque chose de beau à grignoter et à lire. Pardonnez moi si je semble vous mendier de l'amour parce que je vous aimes très sincèrement, c'est peut-être étrange mais c'est comme ça, je vous mange, je vous suce, je vous pénètre et ça me va, j'agis avec vous comme je le ferais avec mes propres amis, mes propres amants, mes propres envies. Mon coeur bat sûrement trop vite, pourtant il faut juste accepter cet état de fait et ne pas avoir peur lorsque j'ai envie de vous goûter. Eh oui! Je suis bien insatiable très chers.

A ceux qui devrait se reconnaîtrent.
I'll be back!


Photo de mon beau Prince sans Rire  ©

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | Page suivante >>

Créer un podcast